→ ANNUAIRE DES RADIOLOGUES AGRÉÉS
Le dépistage est recommandé tous les 2 ans aux femmes de 50 à 74 ans, sans symptômes ni antécédents personnels et familiaux.
Le dépistage est recommandé tous les 2 ans aux femmes de 50 à 74 ans, sans symptômes ni antécédents personnels et familiaux.
La mammographie est prise en charge à 100% par votre régime d’assurance maladie, sans avance de frais. Si des examens complémentaires sont proposés par votre radiologue, ils seront pris en charge dans les conditions habituelles de remboursement.
Les manipulateurs en radiologie suivent une formation spécifique pour garantir la réalisation de clichés de qualité avec une attention renforcée à la douleur éventuellement ressentie.
Un cancer du sein résulte d’un dérèglement de certaines cellules qui se multiplient et forment le plus souvent une masse appelée “tumeur”. Dans la majorité des cas, le développement d’un cancer du sein prend plusieurs mois, voire plusieurs années. Le cancer du sein est le cancer à la fois le plus fréquent et le plus mortel chez la femme. Près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. C’est pour cette raison que le dépistage est proposé aux femmes de 50 à 74 ans.
À détecter tôt une éventuelle anomalie ou un cancer, avant l’apparition de symptômes. Cette détection précoce augmente les chances de guérison : elle permet à 99 femmes sur 100 d’être en vie 5 ans après le diagnostic. Grâce au dépistage, plus de 10 000 cancers agressifs sont dépistés chaque année et ainsi, peuvent être soignés plus tôt.
Âge, histoire personnelle, hérédité ou mode de vie, la survenue d’un cancer du sein est liée à de nombreux facteurs.
Près de deux tiers des cancers du sein apparaissent après l’âge de 50 ans. La maladie reste peu fréquente avant 35 ans et demeure exceptionnelle avant 20 ans.
La consommation d’alcool, le tabagisme et l’excès de poids constituent des facteurs de risque liés aux habitudes de vie, et sont donc évitables. Par ailleurs, on estime qu’environ 21 % des cancers du sein seraient attribuables à une activité physique insuffisante.
La récurrence du sein de certaines familles laisse penser à des formes héréditaires de la maladie. Environ 5 à 10 % des cas seraient liés à une prédisposition génétique, principalement due à des mutations des gènes BRCA.
Une puberté précoce, une ménopause tardive, une première grossesse après 30 ans ou l’absence de maternité sont autant de facteurs pouvant favoriser l’apparition d’un cancer du sein. Par ailleurs, une femme ayant déjà développé un premier cancer du sein présente un risque accru d’en développer un second, que ce soit dans le même sein ou dans l’autre. Dans une moindre mesure, certains cancers – notamment ovariens – surtout dans un contexte familial, ainsi que certaines affections bénignes du sein, peuvent également accroître ce risque. Enfin, les femmes ayant reçu une radiothérapie thoracique, par exemple dans le cadre du traitement d’un lymphome, sont elles aussi plus exposées au cancer du sein.
Détectés à un stade précoce, les cancers du sein peuvent être guéris dans neuf cas sur dix grâce à des traitements de moins en moins lourds et donc mieux tolérés.
Attention, ces signes ne sont pas spécifiques aux cancers du sein mais leur présence doit vous inciter à consulter votre médecin.
L’apparition d’une boule, d’une grosseur, même non douloureuse, un changement de taille et de forme, un aspect peau d’orange, une sensation de douleur ou de lourdeur localisée.
Une rétractation, un écoulement, une rougeur ou un œdème.
L’apparition d’une boule, d’une grosseur ou d’un renflement.
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Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.
Attention, ces signes ne sont pas spécifiques aux cancers du sein mais leur présence doit vous inciter à consulter votre médecin.
Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.
À détecter tôt une éventuelle anomalie ou un cancer, avant l’apparition de symptômes. Cette détection précoce augmente les chances de guérison : elle permet à 99 femmes sur 100 d’être en vie 5 ans après le diagnostic. Grâce au dépistage, plus de 10 000 cancers agressifs sont dépistés chaque année et ainsi, peuvent être soignés plus tôt.
Détectés à un stade précoce, les cancers du sein peuvent être guéris dans neuf cas sur dix grâce à des traitements de moins en moins lourds et donc mieux tolérés.
Le dépistage, notamment par la mammographie, offre ainsi une meilleure prévention, une réduction du risque de complications et une augmentation des chances de vivre en bonne santé plus longtemps. C’est un geste simple, mais qui peut sauver des vies. ↓
Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.
Les étapes du dépistage organisé :
Il s’adresse aux femmes qui présentent des facteurs de risque importants et nécessitent une surveillance plus resserrée (par exemple avec une mammographie annuelle) définie par le médecin.
Il représente 1 % de l’ensemble des cancers du sein.
Sa rareté explique que son éventualité soit souvent négligée et que ces cancers soient pour la plupart diagnostiqués tardivement.
Selon les dernières synthèses de travaux scientifiques, aucun lien n’est établi entre la consommation de café et la survenue du cancer du sein. Boire du café n’aurait pas, non plus, d’effet protecteur.
Les études font état d’une diminution du risque de l’ordre de 20 % entre les femmes les plus actives et celles qui le sont le moins. Le risque de récidive, lui aussi, baisse (– 24 %) grâce à la pratique d’une activité physique après le diagnostic d’un cancer du sein.
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