Skip to main content

LES CANCERS DU SEIN

PLUS UN CANCER DU SEIN EST DÉTECTÉ TÔT, MIEUX IL SE SOIGNE ET SE GUÉRIT.

Chaque année, en France, plus de 2,5 millions de femmes se font dépister.

ET VOUS ?

LES INFOS CLÉS

Le dépistage est recommandé tous les 2 ans aux femmes de 50 à 74 ans, sans symptômes ni antécédents personnels et familiaux.

La mammographie est prise en charge à 100% par votre régime d’assurance maladie, sans avance de frais. Si des examens complémentaires sont proposés par votre radiologue, ils seront pris en charge dans les conditions habituelles de remboursement.

À réaliser chez un radiologue agréé.

→ ANNUAIRE DES RADIOLOGUES AGRÉÉS

Les manipulateurs en radiologie suivent une formation spécifique pour garantir la réalisation de clichés de qualité avec une attention renforcée à la douleur éventuellement ressentie.

S'INFORMER

SENSIBILISER

PRÉVENIR

Un cancer du sein, c’est quoi ?

Un cancer du sein résulte d’un dérèglement de certaines cellules qui se multiplient et forment le plus souvent une masse appelée “tumeur”. Dans la majorité des cas, le développement d’un cancer du sein prend plusieurs mois, voire plusieurs années. Le cancer du sein est le cancer à la fois le plus fréquent et le plus mortel chez la femme. Près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. C’est pour cette raison que le dépistage est proposé aux femmes de 50 à 74 ans.

Le dépistage, à quoi ça sert ?

À détecter tôt une éventuelle anomalie ou un cancer, avant l’apparition de symptômes. Cette détection précoce augmente les chances de guérison : elle permet à 99 femmes sur 100 d’être en vie 5 ans après le diagnostic. Grâce au dépistage, plus de 10 000 cancers agressifs sont dépistés chaque année et ainsi, peuvent être soignés plus tôt.

Âge, histoire personnelle, hérédité ou mode de vie, la survenue d’un cancer du sein est liée à de nombreux facteurs.

Quels sont les facteurs de risque ?

→ L'âge

Près de deux tiers des cancers du sein apparaissent après l’âge de 50 ans. La maladie reste peu fréquente avant 35 ans et demeure exceptionnelle avant 20 ans.

→ Le mode de vie

La consommation d’alcool, le tabagisme et l’excès de poids constituent des facteurs de risque liés aux habitudes de vie, et sont donc évitables. Par ailleurs, on estime qu’environ 21 % des cancers du sein seraient attribuables à une activité physique insuffisante.

→ Les antécédents familiaux

La récurrence du sein de certaines familles laisse penser à des formes héréditaires de la maladie. Environ 5 à 10 % des cas seraient liés à une prédisposition génétique, principalement due à des mutations des gènes BRCA.

→ L'histoire personnelle

Une puberté précoce, une ménopause tardive, une première grossesse après 30 ans ou l’absence de maternité sont autant de facteurs pouvant favoriser l’apparition d’un cancer du sein. Par ailleurs, une femme ayant déjà développé un premier cancer du sein présente un risque accru d’en développer un second, que ce soit dans le même sein ou dans l’autre. Dans une moindre mesure, certains cancers – notamment ovariens – surtout dans un contexte familial, ainsi que certaines affections bénignes du sein, peuvent également accroître ce risque. Enfin, les femmes ayant reçu une radiothérapie thoracique, par exemple dans le cadre du traitement d’un lymphome, sont elles aussi plus exposées au cancer du sein.

Détectés à un stade précoce, les cancers du sein peuvent être guéris dans neuf cas sur dix grâce à des traitements de moins en moins lourds et donc mieux tolérés.

Les signes à surveiller

Attention, ces signes ne sont pas spécifiques aux cancers du sein mais leur présence doit vous inciter à consulter votre médecin.

→ Au niveau des seins

L’apparition d’une boule, d’une grosseur, même non douloureuse, un changement de taille et de forme, un aspect peau d’orange, une sensation de douleur ou de lourdeur localisée.

→ Au niveau du mamelon

Les signes à surveiller

Une rétractation, un écoulement, une rougeur ou un œdème.

→ Au niveau des aisselles

Le dépistage organisé

L’apparition d’une boule, d’une grosseur ou d’un renflement.

Le dépistage organisé

I am text block. Click edit button to change this text. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.

Le dépistage organisé

Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.

Attention, ces signes ne sont pas spécifiques aux cancers du sein mais leur présence doit vous inciter à consulter votre médecin.

Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.

À détecter tôt une éventuelle anomalie ou un cancer, avant l’apparition de symptômes. Cette détection précoce augmente les chances de guérison : elle permet à 99 femmes sur 100 d’être en vie 5 ans après le diagnostic. Grâce au dépistage, plus de 10 000 cancers agressifs sont dépistés chaque année et ainsi, peuvent être soignés plus tôt.

Détectés à un stade précoce, les cancers du sein peuvent être guéris dans neuf cas sur dix grâce à des traitements de moins en moins lourds et donc mieux tolérés.

Le dépistage, notamment par la mammographie, offre ainsi une meilleure prévention, une réduction du risque de complications et une augmentation des chances de vivre en bonne santé plus longtemps. C’est un geste simple, mais qui peut sauver des vies. ↓

Le dépistage organisé

Il s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant pas de risque particulier et leur offre la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage prise en charge tous les deux ans. Dans ce cadre, elles reçoivent régulièrement une lettre les invitant à consulter un radiologue agréé pour effectuer l’examen.

Les étapes du dépistage organisé :

1. Je prends rendez-vous avec un radiologue

  • Je contacte l’un des radiologues agréés mentionnés dans la liste jointe à mon courrier d’invitation.
  • Le jour de mon rendez-vous, je me présente avec mon courrier d’invitation, ma carte Vitale et les clichés de mes mammographies précédentes.
  • Je profite de la consultation pour poser au radiologue toutes les questions que j’ai en tête.

2. Je réalise les examens

  • Le radiologue effectue une mammographie comprenant deux clichés par sein. Tour à tour, chaque sein est placé entre deux plaques qui se rapprochent et exercent une légère compression durant quelques secondes.
  • Le radiologue examine également vos seins.

3. Après les examens

  • Immédiatement après les examens, le radiologue vous communique un premier résultat oral.
  • Si la mammographie et l’examen clinique ne révèlent aucune anomalie, vos clichés seront néanmoins relus, par sécurité, par un second radiologue dans un délai de deux semaines. Cette double lecture augmente les chances de détection : environ 6 % des cancers sont identifiés grâce à ce procédé.
  • Si la mammographie laisse entrevoir une anomalie, le radiologue propose des examens complémentaires (prélèvement de tissu, échographies…) afin de confirmer l’anomalie et d’en déterminer la nature. Il peut aussi suggérer une surveillance rapprochée.

Le dépistage individuel

Il s’adresse aux femmes qui présentent des facteurs de risque importants et nécessitent une surveillance plus resserrée (par exemple avec une mammographie annuelle) définie par le médecin.

Au-delà de ces situations identifiées et encadrées, un examen clinique mammaire annuel doit être réalisé chez toutes les femmes à partir de l’âge de 25 ans, par le médecin traitant, un gynécologue ou une sage-femme.

VRAI OU FAUX ?

Le cancer du sein existe aussi chez l’homme.

Il représente 1 % de l’ensemble des cancers du sein.

Sa rareté explique que son éventualité soit souvent négligée et que ces cancers soient pour la plupart diagnostiqués tardivement.

Boire du café augmente le risque de développer un cancer du sein.

Selon les dernières synthèses de travaux scientifiques, aucun lien n’est établi entre la consommation de café et la survenue du cancer du sein. Boire du café n’aurait pas, non plus, d’effet protecteur.

L’activité physique réduit le risque d’avoir un cancer du sein.

Les études font état d’une diminution du risque de l’ordre de 20 % entre les femmes les plus actives et celles qui le sont le moins. Le risque de récidive, lui aussi, baisse (– 24 %) grâce à la pratique d’une activité physique après le diagnostic d’un cancer du sein.

Besoin de plus d'informations ?

Rendez-vous sur les sites suivants (liste non exhaustive) :

Se connecter

S’inscrire

Réinitialiser le mot de passe

Veuillez saisir votre identifiant ou votre adresse e-mail. Un lien permettant de créer un nouveau mot de passe vous sera envoyé par e-mail.